Ce n’est qu’un début !

Nous venons de vivre trois semaines politiques  déroutantes…

Dans un contexte international apocalyptique, rythmé par la catastrophe japonaise et les conflits armés en Lybie et Côte d’Ivoire, l’épisode électoral des cantonales a révélé ce que doivent être nos prochains objectifs militants.

Tout d’abord le revers du parti présidentiel nous confirme le ras le bol de cette politique de classe.

D’autre part la forte abstention nous rappelle que nous ne devons pas négliger nos efforts d’explication, nos rencontres avec les citoyens et ce bien au-delà des périodes de campagnes officielles. D’autant plus que le gouvernement n’a pas même jugé bon de maintenir les informations civiques habituelles qui rappellent les dates de scrutin.

Enfin, les digues républicaines ont lâché. Sans aucun état d’âme, la plupart des ténors de droite ont laissé leurs électeurs sans consigne claire de vote pour le second tour qui a souvent opposé des candidats de gauche à des candidats FN, candidats arrivés devant les candidats « «sans étiquette  »UMP.

Ce naufrage politique de la droite est multifactoriel : banalisation de l’extrême droite, tentation permanente de courtiser son électorat en faisant du Le Pen light, des ministres et autres responsables du parti sarkosyste  qui dans le cadre de leurs actions ou interventions stigmatisent les minorités ethniques, le choix de débats parlementaires pour le moins tendancieux.

Face à cette déliquescence de l’UMP, nous devons, après nos bons résultats aux cantonales  qui confortent la majorité de départements à gauche, proposer une alternative de projet en adéquation avec les préoccupations des français.
Ce projet pour la France, relayé par le candidat que nous choisirons cet automne, nous permettra de créer cette dynamique d’alternative indispensable pour reprendre la main au sommet de l’Etat.

Renverser la majorité conservatrice du sénat et gagner ensuite la présidentielle sont les deux objectifs qui nous autoriseront à recentrer enfin l’action politique au service de tous et pas comme nous le connaissons aujourd’hui pour les classes sociales les plus aisées.

Et quand le Français comprendra que le Politique travaille pour lui et pour les siens, dans un schéma de concertation et d’intérêt  général, il redeviendra CITOYEN du pays des droits de l’homme…

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