Nous vivons une crise agricole sans précédent. La concurrence mondiale sur les prix des matières premières, la course au toujours moins cher dans la distribution, les pressions sur les prix de l’industrie alimentaire font que de plus en plus d’agriculteurs n’arrivent plus à s’en sortir.
Qui sont les gagnants de ce système ? Ce sont les centrales d’achat et l’industrie agro-alimentaire, qui achètent en masse à nos producteurs, souvent à un prix de revient inférieur au coût de production, même quand les cours des matières agricoles sont élevés
La politique agricole de Benoît Hamon visera à redonner de la valeur à la production agricole française en permettant une transition vers une agriculture biologique et de qualité.
Pour cela, il faut protéger l’agriculture française le temps qu’elle se transforme, pour qu’elle ne subisse pas la volatilité des prix, le dumping agricole, les pratiques commerciales déloyales. Benoît Hamon veut redonner de la valeur à l’amont agricole car manger sainement nécessite de mieux rémunérer nos agriculteurs et éleveurs.
Pour cela, il faut encourager les initiatives déjà à l’œuvre qui participent de la transition agricole. Aujourd’hui, deux modèles s’affrontent : un modèle d’exploitation intensif, productiviste et industriel, orienté vers les marchés à l’export, celui que soutient François Fillon et la droite, et, un modèle privilégiant la reconquête des territoires, la qualité alimentaire, les circuits d’approvisionnement bio et locaux et les structures familiales, celui que Benoît Hamon défend.
C’est un véritable contrat écologique et social que la France doit passer avec ses agriculteurs. On ne peut demander une transition vers une agriculture coopérative et respectueuse de l’environnement sans donner ce même respect aux agriculteurs qui ne demandent qu’à vivre dignement de leur travail. Ce contrat, l’Etat doit en être le garant.
Qui sont les gagnants de ce système ? Ce sont les centrales d’achat et l’industrie agro-alimentaire, qui achètent en masse à nos producteurs, souvent à un prix de revient inférieur au coût de production, même quand les cours des matières agricoles sont élevés
La politique agricole de Benoît Hamon visera à redonner de la valeur à la production agricole française en permettant une transition vers une agriculture biologique et de qualité.
Pour cela, il faut protéger l’agriculture française le temps qu’elle se transforme, pour qu’elle ne subisse pas la volatilité des prix, le dumping agricole, les pratiques commerciales déloyales. Benoît Hamon veut redonner de la valeur à l’amont agricole car manger sainement nécessite de mieux rémunérer nos agriculteurs et éleveurs.
Pour cela, il faut encourager les initiatives déjà à l’œuvre qui participent de la transition agricole. Aujourd’hui, deux modèles s’affrontent : un modèle d’exploitation intensif, productiviste et industriel, orienté vers les marchés à l’export, celui que soutient François Fillon et la droite, et, un modèle privilégiant la reconquête des territoires, la qualité alimentaire, les circuits d’approvisionnement bio et locaux et les structures familiales, celui que Benoît Hamon défend.
C’est un véritable contrat écologique et social que la France doit passer avec ses agriculteurs. On ne peut demander une transition vers une agriculture coopérative et respectueuse de l’environnement sans donner ce même respect aux agriculteurs qui ne demandent qu’à vivre dignement de leur travail. Ce contrat, l’Etat doit en être le garant.
Mesure 1 : Négocier à Bruxelles l’exclusion des filières agricoles françaises sensibles des négociations commerciales en cours
Mesure 2 : Renforcer la position des agriculteurs dans la chaîne alimentaire face à la grande distribution
Mesure 3 : Lutter contre la volatilité des prix et stabiliserai les revenus des agriculteurs
Mesure 4 : Avoir une meilleure prise en compte la pénibilité du métier d’agriculteur
Mesure 5 : Redéployer les aides de la PAC pour qu’elles bénéficient à ceux qui en ont le plus besoin
Mesure 6 : Re-territorialiser et connecter notre agriculture
Mesure 7 : Assurer une diversité agri-culturelle en renforçant la liberté de choix des éleveurs et des agriculteurs en matière de races d’élevage et de semences
Mesure 8 : Interdiction progressivement les pesticides
Mesure 9 : Encourager le bio en appliquant une TVA à taux réduit sur les produits issus de l’agriculture biologique
Mesure 10 : Faire du programme « 4 pour 1 000 » une priorité pour pouvoir réorienter les flux financiers disponibles pour le changement climatique au bénéfice des sols
Mesure 11 : Appuyer la diversification des activités sur les terres agricol
Mesure 2 : Renforcer la position des agriculteurs dans la chaîne alimentaire face à la grande distribution
Mesure 3 : Lutter contre la volatilité des prix et stabiliserai les revenus des agriculteurs
Mesure 4 : Avoir une meilleure prise en compte la pénibilité du métier d’agriculteur
Mesure 5 : Redéployer les aides de la PAC pour qu’elles bénéficient à ceux qui en ont le plus besoin
Mesure 6 : Re-territorialiser et connecter notre agriculture
Mesure 7 : Assurer une diversité agri-culturelle en renforçant la liberté de choix des éleveurs et des agriculteurs en matière de races d’élevage et de semences
Mesure 8 : Interdiction progressivement les pesticides
Mesure 9 : Encourager le bio en appliquant une TVA à taux réduit sur les produits issus de l’agriculture biologique
Mesure 10 : Faire du programme « 4 pour 1 000 » une priorité pour pouvoir réorienter les flux financiers disponibles pour le changement climatique au bénéfice des sols
Mesure 11 : Appuyer la diversification des activités sur les terres agricol